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LANDSCAPES & ICONS
- images emblématiques
Galerie Thierry Librati, Paris, France

1 L'EXPOSITION Thierry Librati présente en exclusivité en France l'artiste alle- mande Stefanie Schneider.

 

L'exposition intitulée "Landscapes & Icons" présentera 15 photos argentiques (c-print) et composition qui illustrent le travail singulier de cette artiste Berlinoise qui passe chaque année 6 mois en Californie afin d’y réaliser exclusivement ses prises de vue. Les pellicules polaroïds qu’elle utilise dont la date limite de validité est largement dépassée, provoque une dégradation des substances chimiques, ce qui induit un résultat imprévisible, et confère aux photos de Stefanie Schneider une atmosphère étrange et poétique, entre rêve et réalité. C’est ainsi qu’ "Instandreams", traduit par rêves instantanés, est un titre générique du travail photographique de cette artiste.

 

Sa technique unique faite de hasard - le résultat est toujours inattendu - et de maîtrise - S.Schneider re-photographie le polaroid en studio pour en extraire un négatif afin de produire des photos grand format en respectant le cadrage original - révèle la vision d’une Amérique réelle ou fantasmée, au travers d’imperfections assumées et de sublimes lumières et couleurs, diaphanes, acidulées, décalées, souvent surexposées. Une enseigne lumineuse de Motel, un chemin de fer US, une voiture américaine ou la bannière étoilée flottant au vent, ce sont ces images emblématiques qui racontent leur histoire et illustrent la vision du rêve américain de Stefanie Schneider.


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The Village Motel-Sunset (Photo 2)         Blue Cadillac (Photo 3)

Cette exposition prend le contre-pied de ce que l'on connaît essentiellement de son travail, à savoir  des images animées de Lolitas ou autres personnages sortis tout droit de l'univers surréaliste et fantasmagorique de Stefanie Schneider.

A la galerie Thierry Librati, seront présentés, en complément des tirages argentiques, quelques films montages, composés d'images polaroïds alternant avec du film super 8 et que S. Schneider nomme "Polaroids movies". Ils permettent de mieux comprendre comment l'artiste construit son travail à partir de scénarii qu'elle imagine, écrit et met en images elle même.

Pour exemple, "Renée's dream" ou "Till death do us part" sont des petits bijoux de ses "polaroïds movies". Leur l'atmosphère poétique sublimée par une ambiance sonore, mélange de sons et de musique, nous émeuvent et nous touchent jusqu'au plus profond de notre âme. Arrêt sur image, le temps est irrémédiablement suspendu et notre âme s’évade…

 

VOIR LIENS:

reneesdreampic 
Renée's Dream, 4mn29 >>


weddingscene
 
Till Death Do Us Part - wedding scenec, 3mn46 >>


2 L'ARTISTE STEFANIE SCHNEIDER Stefanie Schneider se définit comme "une artiste qui utilise la photographie comme le support révélateur de sa création, et non comme une photographe".


Elle née en 1968 à Cuxhaven, Allemagne.
Sort en 1996 de l'Ecole MFA Folkwang à Essen après avoir obtenu une bourse d'études Erasmus à l'Académie Julien de Paris, France.
Depuis plus de 10 ans elle vit et travaille entre Berlin et Los Angeles


Stefanie schneider, un univers...

L’univers singulier de cette artiste Berlinoise nous transporte aux confins du réel et de l’imaginaire. Sa technique unique au service de sa vision du monde et de l’humain nous plonge dans un monde réel, rêvé ou fantasmé ? on se sait pas, on ne sait plus… Une photo de Stefanie Schneider ne laisse pas indifférent.

On oscille entre peinture et photo, on perd ses repères, mais le charme et la séduction agissent et nous transportent dans un monde fantasmatique peuplé de créatures ou de paysages presque irréels et qui pourtant nous semble familier et provoque en nous une forte vibration ou résonance personnelle intérieure.


streetcorner    apptrainStreet Corner LS (Photo 4)                                   Approaching Train (Photo 5)


Une photo de Stefanie Schneider, c’est une émotion ambiguë partagée entre intime et grands espaces, une impression visuelle unique, mais si subtile et délicate dans sa force que l’on se laisse happer par la magie dégagée et que l’on est séduit et captivé sans même s’en rendre compte.



Flash back...Hasard de la vie...

Los Angeles, un jour de 1997, dans un magasin de photos, Stefanie est attiré par un stock de films polaroïd périmés. Elle n'hésite pas, achète les 180 films et conclut l'affaire au prix de 50 cents le film ! Le lendemain elle se procure se procure l'appareil polaroïd à bon prix. Ainsi, le jour suivant elle se rend à la plage avec son matériel, fait ses premiers essais et c'est en découvrant les résultats qu'elle réalise que ces réactions chimiques aléatoires révèlent avec une étrange exactitude l'univers qu'elle avait en tête. A ce moment là Stefanie ne sait pas encore qu'elle a trouvé la matière qui fera d'elle l'artiste internationalement reconnue qu'elle est aujourd'hui. Plus que la matière, c'est sa signature, son empreinte, immédiatement reconnaissable qui s'exprime sur ses images. Dès lors, elle ne cessera d'acheter tout ce qu'elle trouve sur son passage de pellicules périmés et d'appareils usagés!


Ces dernière années...
D'années en années, sa réputation s’est construite essentiellement aux Etats Unis et en Allemagne, et depuis quelques temps son renom s’établie largement en Europe. Son travail est aussi bien présenté en galeries que publié dans des ouvrages qui lui sont consacrés (Wastelands, Stranger than Paradise, 29 Palms, CA) ou au travers de catalogues d'expositions et de magazines.

En 10 ans les expos se sont enchainées et le rythme s'accélère.
2008 est une année d'exception qui consacre l'artiste:

•    sur Arte en mai avec un reportage qui lui est consacré dans Métropolis,
•    à Arles en juillet où elle est nominée pour le prix "Découverte des rencontres
     de Arles",

•    et devient en août l'image du Festival d'Art Lyrique à Salzburg dont ses
     œuvres vont tout autant illustrer la couverture des programmes que l'affiche
     du Festival.

Durant ces 6 dernières années, elle collabore avec Lumas, éditeur de photos pour le grand public (tirages lambda sur des séries de 100 à 150 exe), et devient "le fer de lance" de la maison Allemande très présente sur le marché international et sur internet. Ce qui n'empêche nullement S. Schneider de montrer en parallèle aux USA comme en Europe ses photos argentiques (tirages limités à 5 ou 10 exemplaires) dans des galeries d'art s'adressant aux collectionneurs.

Il y a un an, l'artiste décide de mettre un terme à sa collaboration avec Lumas, décision qui devrait être effective à la fin du printemps 2009.

Aujourd'hui, Stefanie Schneider souhaite voir son travail diffusé exclusivement au travers de galeries d'art qui présenteront exclusivement ses photos argentiques (c-print) en tirages très limités (5 ou 10 exe maxi).
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                Burning Field I (Photo 6)


Vous pouvez trouver un grand nombre d'informations complémentaires sur Stefanie Schneider sur son site www.instantdreams.net, notamment en ce qui concerne son actualité, ses expositions, ses projets, ses galeries, etc……

 
3 LA GALERIE THIERRY LIBRATI Installée depuis 10 ans rue de Lille, la galerie est spécialisée dans le Design du 20è siècle et plus particulièrement dans le mobilier des années 50 et 60. Depuis 3 ans, elle étend son activité à l'Art Con- temporain et présente ses coups de cœur, aussi bien en peinture qu'en photo.

Ce sera la 3ème exposition de Stefanie Schneider au sein de la galerie, la première datant d'octobre 2007 qui a vite enchaîné sur une deuxième exposition en avril 2008, et dont le succès a encouragé Thierry Librati à lui consacrer cette grande exposition pour le début de l’automne 2009.

Revenons en arrière afin de comprendre comment cette collaboration s’est mise en place entre Thierry Librati et Stefanie Schneider.

Lors d’une visite à la FIAC en octobre 2005, Thierry Librati découvre le travail de Stefanie Schneider. Totalement séduit il va acquérir à titre personnel quelques photos de l’artiste et décide de les présenter dans sa galerie non pas pour les vendre mais juste pour son plaisir. Les réactions d’intérêt et d’enthousiasme des visiteurs ne se font pas attendre.

Au printemps 2007, un client tombe littéralement sous le charme et insiste pour acheter la série de photos. Thierry Librati finit par accepter de s’en séparer et les photos sont vendues.

Le constat est indéniable, ceux qui découvrent l’univers photographique de Stefanie Schneider sont la plus part du temps totalement séduits.

Thierry Librati se met alors en recherche d’un contact direct avec Stéfanie, ce qui va se produire très rapidemment par le biais d’internet, suivi d’une communication téléphonique et la rencontre a lieu une semaine plus tard à Berlin, au début de l’éte 2007, au « Labudio », le laboratoire-studio de Stefanie Schneider. Débute alors cette merveilleuse collaboration.
Aujourd’hui la galerie représente en exclusivité dans l’hexagone le travail de cette talentueuse et étonnante artiste Berlinoise.


4 LES VISUELS DISPONIBLES PUR LA PRESSE Les photos en haute définition peuvent vous être envoyées par E-mail sur simple demande.

Photo 1 :"Primary Colors" 2001, composition de 9 photos, c-print (tirage argentique) limité à 5 exe chaque photo 48 x 46 cm

Photo 2 : "The Village Motel-Sunset" 2005, c-print (tirage argentique) limité à 5 exe, 57 x 56 cm

Photo 3: "Blue Cadillac" 1999, c-print (tirage argentique) limité à 5 exe, 55 x 71cm

Photo 4: "Street Corner LS" 2003, c-print (tirage argentique) limité à 10 exe, 60 x 80 cm

Photo 5: "Approaching Train" 1999, c-print (tirage argentique) limité à 3 exe, 125 x 160 cm

Photo 6: "Burning Field I" 2004, c-print (tirage argentique) limité à 5 exe, 57 x 56cm

© Stefanie Schneider / Merci de bien vouloir indiquer la mention obligatoire pour toute reproduction de Photo

LANDSCAPES & ICONS – Images Emblématiques by Stefanie Schneider



German artist Stefanie Schneider (*1968) is working with a Polaroid camera, as she loves the faded colours and unpredictable results of photos made with Polaroid films long out of date. Stefanie, who is living in Berlin, goes to Los Angeles, California for 6 months every year to work on her photography and film projects.

The Village Motel Sunset by Stefanie Schneider, 2009

‘The Village Motel-Sunset’ by Stefanie Schneider, 2009

Stefanie Schnieders's show LANDSCAPES & ICONS – images emblématique, which is coming up in Paris at Galerie Thierry Librati, consists of 15 big prints of her Polaroids. She takes you into a dream world, where the sunlight plays a big role. You can almost feel the heat emanating from her photos and are you almost expecting to see a mirage appear in the hot air in her photos. An old motel sign, a railroad, an American car, and a flag in the wind are the objects, which Stefanie turns into icons of her American dream. There are certain sub-themes common to Stefanie’s work, not least that of journeying, on the road, a feeling of wandering and itinerancy, or simply aimlessness.


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For me, as I haven’t been to California yet, California is a figure of imagination, a big ‘film set’ for Hollywood movies. I feel that Stefanie’s photos show me some of the locations/ ‘film-sets’ in between the scenes of the film, when nothing is happening. She catches something subtle and delicate about the empty urban spaces and the Californian landscape.

Stefanie Schneider not only makes traditional photos, for the last decade she has been making installations combining photography, video, sound and text. See for example Stefanie Schneider’s lesbian ‘Polaroid movies ‘Till death do us part’ on Youtube.com.


LANDSCAPES & ICONS

September 25 – November 30, 2009 
Galerie Thierry Librati, 30, rue de Lille, 75007 Paris, France.

Opening reception 17:00 – 23:00 September 24, 2009.

Burning Field 1 by Stefanie Schneider, 2009

‘ Burning Field 1’ by Stefanie Schneider, 2009